Darkness Vlad Tepes, l’homme-vampire
Un Anglais de 25 ans se prend pour… un vampire ! À Blackburn, Darkness Vlad Tepes vit comme la légende le raconte, en buvant du sang et en dormant dans un cercueil…
L’homme-vampire
« Darkness Vlad Tepes » est un anglais de 25 ans vivant d’une manière assez particulière à Blackburn, dans le nord de l’Angleterre. Le garçon, qui a évident changé de prénom, se prend depuis quelques années pour … un vampire.
Depuis l’âge de ses 13 ans, Darkness, littéralement « obscurité » en anglais, est passionné par le monde des vampires, ces créatures que l’on ne voit normalement que dans Dracula ou Vampire Diaries.
Mais un jour, alors qu’il promène son chien, il croise un groupe de jeunes filles qu’il prend pour des zombies. Effrayé, il rentre chez lui en courant mais reste marqué par cette rencontre. Les croisant de nouveau, il participe à leurs réunions, apprend tout sur leur ordre et devient un vampire. Voilà une rencontre qui change vraiment une vie !
Depuis maintenant 12 ans, Darkness vit comme les siens : il dort dans un cercueil et se nourrit de sang de vache ou de cochon. Rassurez-vous, il n’a pas encore passé la barrière du sang humain et ne viendra pas vous mordre pendant la nuit.
Contrairement à ce qui est dit sur les vampires, l’ail ne le touche pas et il peut marcher sans problème au soleil : nous voilà rassurés…
«Je veux juste être traité comme n’importe qui»
Le garçon, qui porte fièrement des tee-shirt « Keep Calm and Worship Satan » ne veut qu’une chose : «être traité comme n’importe qui».
Même s’il se fait parfois agresser et qu’il subit des regards malveillants, Darkness continue à défendre fièrement ses convictions.
« Tout le monde a ses croyances et je ne crois pas que je devrais être persécuté pour suivre les miennes.”
Darkness Vlad Tepes est soutenu par Sylvia Lancaster, tristement célèbre depuis que sa fille de 20 ans a été assassinée en 2007 en raison de son look gothique. Pour elle, comme pour Darkness : «Les gens doivent apprendre à accepter le fait que ce qui est normal pour eux ne l’est pas pour nous, et ce qui est normal pour nous ne l’est pas pour eux.«