Jeannine Quide, une habitante de Grandcourt, en Haute-Normandie, de 62 ans, a perdu son chien, Casimir, il y a quelques jours. La disparition de l’animal, retrouvé mort quelques mois plus tard, est cependant survenue dans d’étranges conditions.
Un chien en fuite
Casimir, un cavalier king de 6 ans, était le compagnon de Jeannine et s’était enfui il y a 3 mois, alors que le portail de la maison était resté ouvert par erreur. « Il partait rarement. Mais quand ça lui arrivait, il restait toujours à proximité », assure-t-elle. Mais cette fois, le chien ne revient pas. Jeannine se lance dans des recherches de plusieurs jours avec quelques voisins, mais Casimir reste introuvable.
Le retour de Casimir
On cesse finalement les recherches et Jeannine commence à faire le deuil de son chien. Mais, le 6 juin dernier, alors qu’elle se rendait à sa fosse septique, elle voit une forme inerte au fond du trou. Elle prévient les gendarmes qui interviennent. Il s’agit bien du cadavre de Casimir, identifié grâce à son tatouage.
L’animal présente la marque d’un coup violent, le museau presque arraché. Jeannine remarque également que le corps de son chien est dans un état de décomposition très peu avancé. Le vétérinaire confirme que Casimir est mort il n’y a que quelques jours.
Un meurtre canin ?
« Je ne comprends pas. Cela veut dire que des gens l’ont gardé presque trois mois puis qu’ils l’ont tué et ramené chez moi, dans ma fosse. » Elle assure que sa fosse septique est fermée par une plaque en fer sur laquelle est posée une énorme poubelle. Pour elle, il s’agit d’un acte malveillant.
Jeannine a porté plainte contre X, en espérant que les gendarmes réussissent à éclaircir les circonstances de la mort de Casimir.
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